Aime O'Globine

Aime O'Globine

Citation :

Souhaite rester anonyme. En fait, pseudonyme de Malvinara

Bourelle d'Alençon depuis le 17 octobre 1455 au 15 janvier 1456, sous l'autorité du juge Mortesot.

notre bourelle anonyme a néanmoins accepté de fournir sa biographie

Citation :

Lorsque j'étais enfant, mon père, Aristote ai son âme, qui n'avait pas eu de garçon, entreprit de faire de moi son "héritier".
Lui même boucher et grand chasseur de père en fils, il souhaitait que je prenne la succession de ses affaires. Il m'initia donc dès mes 5 ans aux diverses techniques d'égorgement, étripage, écorchage, j’en passer et des meilleurs.
D’abord sur de petits animaux, mais avec les années j'ai progressé et je me suis attaquée a de plus gros morceaux.

D'autre part, mon père venait des Carpates à l’origine, nous somme allés une fois rendre visite à mes grands parents à Bistriţa. Cela explique peut être aussi mon goût pour le sang et les viscères. La région s’est forgée, parait-il, au fil des siècles, une solide tradition de grands saigneurs.
A l'âge adulte, forte de mon expérience, j'ai souhaité embrasser une autre carrière que la boucherie, gardant comme loisirs la chasse tout de même, car j'ai besoin comme tout à chacun de mon verre de sang quotidien.
Mais je commençais un peu à m'ennuyer, la chasse c'est bien, mais évoluer dans l'art de saigner me semblait primordial, j'étais allée au bout de ce que je pouvais tirer de cette activité.
Et c'est là que j'ai vu l'annonce du duché qui cherchait un bourreau. Ce fut une révélation, je suis faite pour ce métier!
C'était un rêve d'enfant, mais je le pensais hors de ma portée. Je suis une femme et certains pensent que nous ne sommes pas à la hauteur lorsqu'il s'agit de faire souffrir physiquement notre prochain, la torture mentale nous étant le plus souvent réservée.
J'ai contacté alors notre juge par missive, lui faisant état de ma grande motivation pour le poste. J'étais tellement motivée que j'ai commencé à discuter avec lui par mésange, voulant à tout prix le convaincre de mon engagement. Il m'a fait tout de suite confiance et je l'en remercie encore. J'espère en être digne et à la hauteur de ce qu'il attend de moi.

Certains se demanderont certainement pourquoi j'ai choisi l'anonymat. Je vais donc répondre dors et déjà à cette question.
Je suis jeune, j'espère un jour me marier, et avoir des enfants bien sur. Et je ne voudrais pas que le métier de leur mère soit un frein à leur vie sociale. Je suis extrêmement fière de ce que je fais, mais c’est mon choix et non le leur.

lenoil a écrit:

notre bourelle anonyme a néanmoins accepté de fournir sa biographie

Il faut bien que les villageois sachent à qui ils ont à faire! Cela me semblai normal de satisfaire partiellement à leur curiosité

lenoil a écrit:

notre bourelle anonyme a néanmoins accepté de fournir sa biographie

Citation :

Lorsque j'étais enfant, ...
J'ai contacté alors notre juge par missive, lui faisant état de ma grande motivation pour le poste. J'étais tellement motivée que j'ai commencé à discuter avec lui par mésange, voulant à tout prix le convaincre de mon engagement. Il m'a fait tout de suite confiance et je l'en remercie encore. J'espère en être digne et à la hauteur de ce qu'il attend de moi.

Bon en fait, je l'ai choisi elle parce que j’adore les bottes et les petites tenues moulantes en cuir de la dame, ça éveille en moi un je ne sais quoi … d’animal ! Voilà, après qu’elle fasse bien son boulot, c’est un plus, mais sachez Juges futurs qu’il est bien plus agréable d’assister à une sentence effectuée par une donzelle aux formes plaisantes que prodiguée par un gros bourreau poilu du dos et des épaules, crachant comme un gueux et rotant comme un porcin.
Un bourreau c’est bien, mais une belle bourrelle maniant le fouet avec un petit déhanché sexy, c’est divin !!!!